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A.VAN COP – EXTRAIT CATALOGUE

IWC

IWC

A.VAN COP – EXTRAIT CATALOGUE

DOSSIER DE PRESSE

Un dossier de presse sur une famille de montres créées par le prestigieux horloger IWC…

DOSSIER DE PRESSE

Un dossier de presse sur une famille de montres créées par le prestigieux horloger IWC…

MONTRES PORTUGAISES : LA FAMILLE

MONTRES PORTUGAISES :

LA FAMILLE

Oh ! Temps ! Suspends ton vol…

Et admire cette montre intemporelle créée par IWC : la Portugaise Chronographe Automatique… Idée de cadeau sublime pour naviguer dans les temps modernes tout en s’appuyant sur une rassurante impression d’éternité. Cadran velouté argenté ou noir, chiffres arabes en relief, aiguilles lancéolées et dégagement circulaire pour les secondes : beauté intangible habillant un cœur mécanique de très haute précision horlogère… destiné aux origines à seconder les marins au long cours.

Par-delà les mers

Montre de légende, la Portugaise a été conçue au début du siècle par la célèbre manufacture de Schaffhouse, en Suisse, pour répondre à la demande de deux commerçants portugais. Il s’agissait de réaliser une montre-bracelet avec boîtier en acier présentant les mêmes qualités qu’un chronomètre de marine, alors indispensable pour se repérer avec précision en pleine mer. IWC releva le défi avec brio. Le calibre « 74 » en version savonnette, le mécanisme d’horlogerie le plus plat de l’époque fut mis à contribution pour créer la première montre-bracelet de précision. Succès planétaire. Lancées à l’assaut des horizons maritimes, les aiguilles des portugaises ont alors arpenté et mesuré toutes les courbes du globe, années après années, de parallèles en méridiens, de mers en océans, de continent en continent… De ces épopées du début du siècle, où le monde restait encore à découvrir. Où les aventures devenaient légendes.

Par-delà le temps

 

Forte d’une carrière légendaire, la Portugaise aurait pu en rester là. C’était sans compter sur l’amour passionné que les magiciens de Schaffhouse portent au temps qui passe. L’année 1993 marquait le 125ème anniversaire de IWC. Pour célébrer cet événement avec éclat, ils la ressuscitèrent. Devant le succès rencontré – à nouveau – ils décidèrent de la décliner en plusieurs modèles. En 1996, ils créèrent une nouvelle portugaise, avec un nouveau calibre, à mouvement automatique : la Portugaise Chronographe Automatique.

LA PORTUGAISE : CHRONOGRAPHE AUTOMATIQUE

Magique

 

Trente et un rubis sont mobilisés dans cette quête de perfection. En une heure, 28 800 mouvements s’entremêlent, s’interpellent, se répondent… Dans un espace étroit de 40,90 mm de diamètre sur 12,45 mm de haut, délimité par un boîtier en acier. Des dizaines de pièces ajustées avec une précision d’orfèvre s’imbriquent et dansent une chorégraphie à la fois froidement mécanique et chaleureusement irréelle, évanescente. Toute cette animation est finalement transmise à un axe qui émerge, inamovible, fixe, en plein centre du cadran de la Portugaise Chronographe Automatique. 28 800 mouvements ; l’axe a imprimé un douzième de tour à la petite aiguille ; la grande a effectué une révolution complète ; la trotteuse a réalisé 60 tours… À la seconde près.

Belle

 

Pourquoi une montre est-elle souvent ronde ? Sûrement parce que de tout temps, la roue a symbolisé le temps. La roue qui tourne… Avec la portugaise Chronographe Automatique, cette roue du temps se pare de ses plus beaux atours. Sous la transparence minérale du verre saphir bombé, dureté 9, se lovent dans une harmonie totale un cadran velouté argenté ou noir, des chiffres arabes en relief, des aiguilles lancéolées, un dégagement circulaire pour les secondes, deux compteurs superposés. Une beauté épurée qui regarde passer le temps… Sans en subir les outrages.

IWC : LA MANUFACTURE

Une passion

 

IWC voue une adoration sans borne à ses fameux « calibres ». Cœurs ultra sophistiqués des montres IWC, c’est là que réside tout le savoir-faire des ingénieurs et artisans de la vénérable manufacture. Au-delà de la performance mécanique, de la maîtrise époustouflante des « complications » de chacun d’entre eux, on se trouve en présence d’une magie qui est loin, très loin, des simples règles technologiques. Il y a, dans le fonctionnement de ces calibres, une part de vertige ; un équilibre fascinant ; une alchimie qui se situe, paradoxalement, hors du temps… Chaque montre IWC est habitée d’une science du mouvement qui lui confère une parenté avec les forces cosmiques qui, depuis des millions d’années, font tourner la terre autour de son axe, et avec elle, l’univers infini.

Une histoire

 

IWC peut s’enorgueillir d’une riche histoire, vieille de plus de 130 ans. Fondée en 1868 par un américain, Florentine Ariosto Jones, la manufacture a traversé plus d’un siècle en prenant régulièrement date avec la chronique horlogère :

1898 : premières montres-bracelets
1935 : première montre-bracelet d’aviateur : la Mark IX
1938 : naissance de la Portugaise : montre-bracelet de la taille et précision d’une montre
de poche
1955 : première montre-bracelet automatique : l’Ingenieur
1978 : début d’une collaboration longue de 20 ans avec Ferdinand A. Porsche
1980 : première montre-bracelet de série avec boîtier en titane
1982 : montre de plongée résistant à une profondeur d’immersion de 2000 mètres
1985 : calendrier perpétuel sur le chronographe Da Vinci, programmé pour 500 ans
1990 : première Grande Complication pour le poignet
1992 : premiers prototypes de la IL Destriero Scafusia : montre-bracelet la plus compliquée du monde. 125 exemplaires pour le jubilé des 125 ans de la manufacture.
1997 : nouvelle ligne sport GST en or, en acier et en titane
2000 : La montre Portugaise se dote d’une réserve de marche de 7 jours (calibre 5000)
2002 : La Grande Montre d’aviateur à remontoir Pellaton et mouvement automatique de 7 jours

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A. VAN COP

01 39 08 09 55

vancop(at)vancop.fr