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A.VAN COP – EXTRAIT CATALOGUE

CHAPEAU DE PAILLE

CHAPEAU DE PAILLE

A.VAN COP – EXTRAIT CATALOGUE

COMMUNIQUÉS ET DOSSIERS DE PRESSE

Les cueillettes Chapeau de Paille ont créé le plus court des circuits courts, avec leur réseau qui compte plus de 30 fermes-cueillettes dans lesquelles les consommateurs viennent directement se servir en cueillant leurs légumes, fruits et fleurs.

Des communiqués de presse rappellent tout au long de l’année les temps forts du cycle de la nature et donc des cueillettes et de leurs clients. Des dossiers de presse  exposent la philosophie des agriculteurs qui font pousser tous ces beaux produits sains et savoureux.

C’EST LE PRINTEMPS
… CAR LA CUEILLETTE DE FÉRIN OUVRE SES PORTES

 

Pour savoir quand arrive le printemps, c’est simple, il suffit de regarder si la cueillette Chapeau de Paille de Férin est ouverte. Justement, elle rouvre ses portes à ses clients cueilleurs… le 1er avril. C’est donc le signe que l’hiver est terminé, que la terre se réchauffe, et que les légumes primeurs sortent vaillamment de terre.

À la cueillette de Férin, le client déambule aux commandes de sa brouette le sourire aux lèvres, les poumons bien aérés, et cueille ici des oignons blancs bien croquants, là des salades savoureuses, un peu plus loin des carottes tendres et sucrées, sans oublier d’aller se servir en épinards, en rhubarbe…

Pour embellir sa maison, il finit sa promenade en plein air en coupant une belle brassée de tulipes aux couleurs éclatantes. C’est le printemps, quoi !
À l’accueil, surprise ! Il a le plaisir de trouver les premières asperges blanches, cueillies avec délicatesse et savoir-faire par l’équipe de la cueillette.

CHAPEAU DE PAILLE…

 

La cueillette de Férin est une cueillette Chapeau de Paille. Chapeau de Paille, c’est :

Un réseau

Le réseau Chapeau de Paille a été créé il y a maintenant 35 ans par des agriculteurs passionnés. Leur objectif : promouvoir l’autocueillette en cultivant dans le respect de la terre et du consommateur. Le réseau regroupe aujourd’hui 33 fermes cueillettes gérées par des maraîchers-arboriculteurs : 23 sont installées en province, 10 en Île-de-France.

 

Un pionnier des circuits courts

Les créateurs de Chapeau de Paille sont des précurseurs quand ils proposent le concept de cueillette libre-service, dans les années 1980. À deux pas de chez lui, le consommateur accède en direct, sur le champ, à une grande variété de fleurs, de fruits et de légumes qu’il cueille lui-même : innovant à l’époque, ce mode de consommation local basé sur un circuit ultra court, à la fois écologique, économique et équitable est devenu depuis furieusement tendance.

 

Des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement

Chez Chapeau de Paille, l’agriculture est un métier d’ouverture, d’observation, de patience… et d’expérience. Une cueillette Chapeau de Paille a à cœur de travailler en bonne intelligence avec son sol, son climat et son environnement, pour des produits sains… et bons. Ceci passe par le respect d’un ensemble de bonnes pratiques. Petit florilège… (non exhaustif)

  • Respecter le rythme des saisons
    Travailler avec la nature, c’est respecter les saisons : les poireaux sont donc cultivés pour être cueillis en hiver, les tomates en été, et ainsi de suite, au fil des saisons…
  • Bien sélectionner les variétés cultivées
    Privilégier la culture de variétés rustiques – plus résistantes aux maladies et aux insectes ravageurs, et savoureuses.
  • Contrôler les ravageurs
    Favoriser l’implantation des insectes prédateurs (coccinelles…) qui s’attaquent aux populations de ravageurs (pucerons…) : en plantant des jachères ou des haies accueillantes, en installant des hôtels à insectes…
  • Écouter la météo
    Bien anticiper les conditions météo pour optimiser les arrosages et économiser les ressources, semer et planter au bon moment pour assurer la réussite des cultures et éviter le gaspillage des semences…
  • Ne pas désherber
    Ou plutôt empêcher les mauvaises herbes de pousser et asphyxier les cultures, en couvrant les sols avec des films biodégradables à base d’amidon de maïs ou de pomme de terre.

EN PLEINE SAISON DES FRAISES
À LA CUEILLETTE DE L’ARAGNON

 

La France passe à l’heure des fraises. À la cueillette de l’Aragnon, la vague rouge est arrivée en douceur, en se donnant le temps de bien mûrir : dès le mois de février, la vigoureuse végétation des fraisiers s’est enclenchée, les fleurs sont apparues, puis ces dernières ont pris une trentaine de jours pour se transformer en fruits savoureux.

 

Un rendez-vous très attendu

Chaque année, les clients de la cueillette attendent ce moment avec gourmandise. Cette lente maturité du fruit sous le ciel des Pyrénées, cette garantie d’absolue fraîcheur en le cueillant directement sur pied… sont pour eux l’assurance de récolter des fraises goûtues et savoureuses. Un bonheur simple, annonciateur d’un été ensoleillé.

 

Pour tous les goûts

Amoureuse de biodiversité, la cueillette ne se cantonne pas à la culture d’une seule variété de fraise : elle en cultive plus d’une dizaine : des « précoces », pour que la saison débute le plus tôt possible, des « saisons » qui comme leur nom l’indique… et des « tardives » pour prolonger le plaisir jusqu’à l’automne. Bien sûr, la cueillette joue aussi sur les goûts et les textures : elle propose des variétés acidulées, des sucrées, des parfumées, des fermes, des fondantes… Le cueilleur a l’embarras du choix ! Toutes sont sélectionnées aussi pour leur capacité à résister naturellement aux attaques des maladies et des ravageurs, ce qui évite l’usage de produits phytosanitaires.

 

Les copieurs…

Un peu jaloux de cet engouement pour les fraises, d’autres végétaux commencent à se pousser du col : on voit émerger dans les allées des épinards d’un vert fringant, des rhubarbes conquérantes, des salades croquantes, des asperges bien blanches, des radis rose tendre, des navets plats. Juste à côté, groseilliers et cassissiers préparent activement l’explosion de leurs grappes éclatantes de fruits rouges…

Un ensemble de bonnes pratiques :

l’anti-gaspi

 

Une cueillette Chapeau de paille observe un ensemble de bonnes pratiques pour une agriculture raisonnée et respectueuse de son environnement. Exemple avec sa politique anti-gaspi…

Produire sans gâcher

Un agriculteur Chapeau de paille cultive, c’est dans son ADN. De sa terre il tire année après année de délicieux fruits et légumes qui font le bonheur de ses clients. Mais si la météo empêche ces derniers de venir cueillir juste au moment où il y a abondance ? Si de petits insectes trop gourmands rendent les produits un peu « moches » ? L’homme des champs agit avec calme et discernement pour ne rien gâcher. Car le travail de la nature mérite un minimum de considération. Démonstration…

 

Conserver

Les pommes, oignons et pommes de terre sont conservés en chambre froide ; les courges le sont à température ambiante. Ils sont ensuite vendus progressivement tout au long de l’hiver et du printemps qui suivent. Cela permet d’absorber les surproductions, mais aussi et surtout de faire des réserves de nourriture pour quand la nature est en sommeil.

 

Transformer

Trop de pommes ? De poires ? De tomates ? Ou bien elles ont été un peu enlaidies par une attaque d’insectes mais ont conservé toutes leurs qualités gustatives ? Un passage par le pressoir en fait de délicieux jus de fruits « de la cueillette » qui sont ensuite stérilisés. Dans le même ordre d’idée, tomates, courgettes, oignons… peuvent être transformés en ratatouilles, en coulis, puis également mis en conserve.

 

Donner

S’ils ne se prêtent pas à la transformation ou à la conservation, les fruits et légumes en surnombre et de qualité irréprochable sont donnés à des associations caritatives locales. Car mieux vaut donner que perdre.

 

Recycler

Les fleurs, fruits et légumes définitivement irrécupérables – trop abîmés, trop mûrs- sont laissés sur place, à même la terre. Et même ainsi, ils sont utiles. Des micro-organismes et toute une petite faune vont s’en nourrir et les transformer lentement en compost et nutriments qui vont enrichir et améliorer le sol.

LES TOMATES AIMENT LA CUEILLETTE DES JARDINS DE MESLAY

 

La cueillette des jardins de Meslay est le lieu de villégiature préféré des tomates : chaque année, elles sont des centaines à y prendre leurs quartiers d’été. Là, elles ont le choix entre un emplacement douillet sous serre ou bien, pour les plus « roots » d’entre elles, un campement à la belle étoile. Dans les deux cas, elles ont droit à un accueil de première classe : équipe aux petits soins et arrosages réguliers sont au programme.

 

Avantages… et avantages

Les serres permettent aux tomates d’arriver à maturité avec 5 à 6 semaines d’avance sur les autres. Surtout, elles aident les variétés traditionnelles à s’épanouir en toute sérénité, sans crainte d’attraper le mildiou, auquel elles sont sensibles. Les tomates en plein air, elles, prennent un malin plaisir à affronter sans filtre les variations climatiques de notre région. Véritables tomates de terroir, elles en profitent pour développer des caractéristiques bien à elles : fermeté plus prononcée, acidité plus soutenue…

Il y a tomate et tomate et tomate

Plus de XX variétés de tomates sont ainsi obligeamment hébergées à la cueillette des jardins de Meslay (voir liste en page 2). En reconnaissance des bons traitements qui leurs sont prodigués, elles délivrent jour après jour des grappes de fruits aux formes, couleurs, textures, goûts tellement variés qu’il y en a pour tous les usages et pour tous les gourmands… Les clients apprentis géomètres ont le choix entre tomates rondes, allongées, ou cerises… Les amateurs de salades, jus ou soupes, se voient proposer des tomates aux saveurs sucrées ou acides, toutes délicieusement juteuses… Celles et ceux qui veulent préparer des coulis ou des conserves pour l’hiver se tournent vers les variétés aux textures bien pulpeuses…

 

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C’EST LE PRINTEMPS
… CAR LA CUEILLETTE DE FÉRIN OUVRE SES PORTES

 

Pour savoir quand arrive le printemps, c’est simple, il suffit de regarder si la cueillette Chapeau de Paille de Férin est ouverte. Justement, elle rouvre ses portes à ses clients cueilleurs… le 1er avril. C’est donc le signe que l’hiver est terminé, que la terre se réchauffe, et que les légumes primeurs sortent vaillamment de terre.

À la cueillette de Férin, le client déambule aux commandes de sa brouette le sourire aux lèvres, les poumons bien aérés, et cueille ici des oignons blancs bien croquants, là des salades savoureuses, un peu plus loin des carottes tendres et sucrées, sans oublier d’aller se servir en épinards, en rhubarbe…

Pour embellir sa maison, il finit sa promenade en plein air en coupant une belle brassée de tulipes aux couleurs éclatantes. C’est le printemps, quoi !
À l’accueil, surprise ! Il a le plaisir de trouver les premières asperges blanches, cueillies avec délicatesse et savoir-faire par l’équipe de la cueillette.

CHAPEAU DE PAILLE…

 

La cueillette de Férin est une cueillette Chapeau de Paille. Chapeau de Paille, c’est :

Un réseau

Le réseau Chapeau de Paille a été créé il y a maintenant 35 ans par des agriculteurs passionnés. Leur objectif : promouvoir l’autocueillette en cultivant dans le respect de la terre et du consommateur. Le réseau regroupe aujourd’hui 33 fermes cueillettes gérées par des maraîchers-arboriculteurs : 23 sont installées en province, 10 en Île-de-France.

 

Un pionnier des circuits courts

Les créateurs de Chapeau de Paille sont des précurseurs quand ils proposent le concept de cueillette libre-service, dans les années 1980. À deux pas de chez lui, le consommateur accède en direct, sur le champ, à une grande variété de fleurs, de fruits et de légumes qu’il cueille lui-même : innovant à l’époque, ce mode de consommation local basé sur un circuit ultra court, à la fois écologique, économique et équitable est devenu depuis furieusement tendance.

 

Des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement

Chez Chapeau de Paille, l’agriculture est un métier d’ouverture, d’observation, de patience… et d’expérience. Une cueillette Chapeau de Paille a à cœur de travailler en bonne intelligence avec son sol, son climat et son environnement, pour des produits sains… et bons. Ceci passe par le respect d’un ensemble de bonnes pratiques. Petit florilège… (non exhaustif)

  • Respecter le rythme des saisons
    Travailler avec la nature, c’est respecter les saisons : les poireaux sont donc cultivés pour être cueillis en hiver, les tomates en été, et ainsi de suite, au fil des saisons…
  • Bien sélectionner les variétés cultivées
    Privilégier la culture de variétés rustiques – plus résistantes aux maladies et aux insectes ravageurs, et savoureuses.
  • Contrôler les ravageurs
    Favoriser l’implantation des insectes prédateurs (coccinelles…) qui s’attaquent aux populations de ravageurs (pucerons…) : en plantant des jachères ou des haies accueillantes, en installant des hôtels à insectes…
  • Écouter la météo
    Bien anticiper les conditions météo pour optimiser les arrosages et économiser les ressources, semer et planter au bon moment pour assurer la réussite des cultures et éviter le gaspillage des semences…
  • Ne pas désherber
    Ou plutôt empêcher les mauvaises herbes de pousser et asphyxier les cultures, en couvrant les sols avec des films biodégradables à base d’amidon de maïs ou de pomme de terre.

EN PLEINE SAISON DES FRAISES
À LA CUEILLETTE DE L’ARAGNON

 

La France passe à l’heure des fraises. À la cueillette de l’Aragnon, la vague rouge est arrivée en douceur, en se donnant le temps de bien mûrir : dès le mois de février, la vigoureuse végétation des fraisiers s’est enclenchée, les fleurs sont apparues, puis ces dernières ont pris une trentaine de jours pour se transformer en fruits savoureux.

 

Un rendez-vous très attendu

Chaque année, les clients de la cueillette attendent ce moment avec gourmandise. Cette lente maturité du fruit sous le ciel des Pyrénées, cette garantie d’absolue fraîcheur en le cueillant directement sur pied… sont pour eux l’assurance de récolter des fraises goûtues et savoureuses. Un bonheur simple, annonciateur d’un été ensoleillé.

 

Pour tous les goûts

Amoureuse de biodiversité, la cueillette ne se cantonne pas à la culture d’une seule variété de fraise : elle en cultive plus d’une dizaine : des « précoces », pour que la saison débute le plus tôt possible, des « saisons » qui comme leur nom l’indique… et des « tardives » pour prolonger le plaisir jusqu’à l’automne. Bien sûr, la cueillette joue aussi sur les goûts et les textures : elle propose des variétés acidulées, des sucrées, des parfumées, des fermes, des fondantes… Le cueilleur a l’embarras du choix ! Toutes sont sélectionnées aussi pour leur capacité à résister naturellement aux attaques des maladies et des ravageurs, ce qui évite l’usage de produits phytosanitaires.

 

Les copieurs…

Un peu jaloux de cet engouement pour les fraises, d’autres végétaux commencent à se pousser du col : on voit émerger dans les allées des épinards d’un vert fringant, des rhubarbes conquérantes, des salades croquantes, des asperges bien blanches, des radis rose tendre, des navets plats. Juste à côté, groseilliers et cassissiers préparent activement l’explosion de leurs grappes éclatantes de fruits rouges…

Un ensemble de bonnes pratiques :

l’anti-gaspi

 

Une cueillette Chapeau de paille observe un ensemble de bonnes pratiques pour une agriculture raisonnée et respectueuse de son environnement. Exemple avec sa politique anti-gaspi…

Produire sans gâcher

Un agriculteur Chapeau de paille cultive, c’est dans son ADN. De sa terre il tire année après année de délicieux fruits et légumes qui font le bonheur de ses clients. Mais si la météo empêche ces derniers de venir cueillir juste au moment où il y a abondance ? Si de petits insectes trop gourmands rendent les produits un peu « moches » ? L’homme des champs agit avec calme et discernement pour ne rien gâcher. Car le travail de la nature mérite un minimum de considération. Démonstration…

 

Conserver

Les pommes, oignons et pommes de terre sont conservés en chambre froide ; les courges le sont à température ambiante. Ils sont ensuite vendus progressivement tout au long de l’hiver et du printemps qui suivent. Cela permet d’absorber les surproductions, mais aussi et surtout de faire des réserves de nourriture pour quand la nature est en sommeil.

 

Transformer

Trop de pommes ? De poires ? De tomates ? Ou bien elles ont été un peu enlaidies par une attaque d’insectes mais ont conservé toutes leurs qualités gustatives ? Un passage par le pressoir en fait de délicieux jus de fruits « de la cueillette » qui sont ensuite stérilisés. Dans le même ordre d’idée, tomates, courgettes, oignons… peuvent être transformés en ratatouilles, en coulis, puis également mis en conserve.

 

Donner

S’ils ne se prêtent pas à la transformation ou à la conservation, les fruits et légumes en surnombre et de qualité irréprochable sont donnés à des associations caritatives locales. Car mieux vaut donner que perdre.

 

Recycler

Les fleurs, fruits et légumes définitivement irrécupérables – trop abîmés, trop mûrs- sont laissés sur place, à même la terre. Et même ainsi, ils sont utiles. Des micro-organismes et toute une petite faune vont s’en nourrir et les transformer lentement en compost et nutriments qui vont enrichir et améliorer le sol.

LES TOMATES AIMENT LA CUEILLETTE DES JARDINS DE MESLAY

 

La cueillette des jardins de Meslay est le lieu de villégiature préféré des tomates : chaque année, elles sont des centaines à y prendre leurs quartiers d’été. Là, elles ont le choix entre un emplacement douillet sous serre ou bien, pour les plus « roots » d’entre elles, un campement à la belle étoile. Dans les deux cas, elles ont droit à un accueil de première classe : équipe aux petits soins et arrosages réguliers sont au programme.

 

Avantages… et avantages

Les serres permettent aux tomates d’arriver à maturité avec 5 à 6 semaines d’avance sur les autres. Surtout, elles aident les variétés traditionnelles à s’épanouir en toute sérénité, sans crainte d’attraper le mildiou, auquel elles sont sensibles. Les tomates en plein air, elles, prennent un malin plaisir à affronter sans filtre les variations climatiques de notre région. Véritables tomates de terroir, elles en profitent pour développer des caractéristiques bien à elles : fermeté plus prononcée, acidité plus soutenue…

Il y a tomate et tomate et tomate

Plus de XX variétés de tomates sont ainsi obligeamment hébergées à la cueillette des jardins de Meslay (voir liste en page 2). En reconnaissance des bons traitements qui leurs sont prodigués, elles délivrent jour après jour des grappes de fruits aux formes, couleurs, textures, goûts tellement variés qu’il y en a pour tous les usages et pour tous les gourmands… Les clients apprentis géomètres ont le choix entre tomates rondes, allongées, ou cerises… Les amateurs de salades, jus ou soupes, se voient proposer des tomates aux saveurs sucrées ou acides, toutes délicieusement juteuses… Celles et ceux qui veulent préparer des coulis ou des conserves pour l’hiver se tournent vers les variétés aux textures bien pulpeuses…

 

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A. VAN COP

01 39 08 09 55

vancop(at)vancop.fr